Vieille terre
La route est droite mais le chemin blessant
Devant à demi mangés par les essences
Ils avancent, progressent et dansent
Car la nuit toujours surprend
Alors leurs cris ont la forme lâche
Du courage cinématographique
Mais ne trompent les ombres maléfiques
Dont leurs cœurs tremblants se cachent
Si grande est la force des esprits
Qu’elle paralyse le plus téméraire
Mais veille la vieille terre
Qui saura donner à la vie son prix